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Le régulateur
d'allure CapHorn

Le régulateur d’allure CapHorn

Après cinquante ans de croisière à voile sans tenir la barre de mon bateau, je suis passé maître dans l’art de conserver un cap.

Yves Gélinas

Inventeur du régulateur d’allure CapHorn.

En navigation côtière ou en régate, il est agréable de barrer son bateau. Cependant, en grande croisière ou en traversée, on a mieux à faire!

Pour éviter d’être constamment rivé à la barre dans le cockpit, confier cette tâche au régulateur d’allure CapHorn suffit. Le CapHorn conserve parfaitement l’allure et non seulement un cap.

En long voyage ou en haute mer, il est préférable d’utiliser le régulateur d’allure
CapHorn qui ne consomme pas d’électricité et ne se fatigue jamais. Il maintient un angle constant par rapport au vent (c’est-à-dire une allure) pour offrir une navigation exceptionnellement stable et performante.

Efficacité du CapHorn

Le régulateur d’allure CapHorn est le fruit de 10 années de recherches. Avant d’être offert sur le marché, sa résistance et son efficacité ont été testées à l’occasion d’un tour du monde en solitaire via l’océan Austral et le cap Horn (d’où son nom).

Le régulateur d’allure CapHorn tire avantage du safran principal du bateau, ce qui n’entraine pas une trainée supplémentaire comme le ferait un safran auxiliaire. C’est la solution la plus efficace, surtout par mer agitée.

6 bonnes raisons pour préférer un CapHorn!

  1. Fait sur mesure avec précision
  2. Conserve son cap même par faible vent arrière
  3. Fonctionne sous tous les temps et sur toutes les mers
  4. Fabriqué avec des matériaux de haute qualité
  5. Conçu par des marins confirmés, qui connaissent les besoins
  6. Le CapHorn est élégant et discret; il ne dénaturera pas l’œuvre d’art qu’est votre bateau
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Comment le régulateur d’allure CapHorn conserve-t-il un cap ?

Pour régler le cap, on fait pivoter la tourelle pour que le vent frappe l’aérien sur sa tranche ; dès que le bateau perd le cap demandé, l’aérien s’incline sous la pression du vent sur l’une de ses faces.

En s’inclinant, l’aérien fait pivoter une pale située dans l’eau à l’arrière du bateau ; dès qu’elle pivote, cette pale est chassée de côté avec force par les filets d’eau. Cette force est transmise à l’appareil à gouverner à l’aide de filins (appelés drosses) qui font pivoter le safran pour ramener le bateau au cap.

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CapHorn : un régulateur d’allure parfaitement adapté à votre bateau

CapHorn, le moyen le plus élégant de permettre à un bateau de se barrer tout seul. Bâti sur mesure pour s’adapter parfaitement au bateau. Matériaux échantillonnés en fonction du poids et de la taille du bateau. Surface mouillée de la pale proportionnelle au safran du bateau, assurant puissance suffisante, mais traînée minimale.

Comment traverser l’océan sans se fatiguer?

«Délègue la tâche de barrer au meilleur équipier possible, le régulateur d’allure CapHorn. Le seul équipier qui ne consomme que du vent et de l’eau. De plus, il est beau!»

– Guy Lavoie, marin et directeur de la production.

Commentaires reçus de marins qui naviguent sans les mains!

Le CapHorn commence là où les autres s’arrêtent !! C’est sans doute l’expérience la plus incroyable en navigation à voile en de très nombreuses années. Vent debout, plein vent arrière, sous spi, à pleines voiles ou au bas ris, au près serré, grand largue, "l’Apprenti-Sorcier" s’en fout, il fait son boulot!

Keith HolmesHans Christian 43 - Lady Guinevere San Francisco

Fantastique ! Purement et simplement la meilleure pièce d’équipement sur le bateau

Bob CooleyWestsail 32 - Journey

Plein vent arrière, le CapHorn a montré ses possibilités en conduisant le bateau voiles en ciseaux, comme sur des rails, dans une brise variant de force 6 à moins de 10 nœuds.

C. SabatéGib Sea 35 - Clorinthe, La Rochelle

Vote de notre famille : après six ans, notre CapHorn demeure le meilleur ajout que nous ayons fait sur notre bateau.

Dave KerrSloop - Pastime of Sydney

Le Grand Prix de l’équipement revient au régulateur d’allure CapHorn, qui avait été installé par son designer et constructeur Yves Gélinas (Merci beaucoup Yves!). Il a fonctionné de façon impeccable. C’est sans doute la meilleure pièce d’équipement que nous ayons jamais utilisé.

Bruce Pettitt et Jacqueline GianniniGozzard 32 - Wave Equation, Ottawa,

Au cœur de l’océan infini, là où le vent et les vagues dansent en harmonie, l’albatros règne en maître des cieux marins. Majestueux et gracieux, il incarne la liberté et la maîtrise des éléments.

Tout comme l’albatros est le guide des marins à travers les océans, le CapHorn se présente comme votre fidèle compagnon de voyage, prêt à vous accompagner avec fiabilité et précision.

La sagesse de l’albatros, qui a navigué à travers les mers pendant des siècles, se reflète dans la conception du CapHorn. Robuste, fiable et adaptable, notre produit incarne l’esprit marin, prêt à affronter les défis que l’océan peut présenter.

Ensemble, l’albatros et le CapHorn forment une symbiose parfaite, une alliance entre la nature et la technologie, offrant aux marins une expérience de navigation inégalée.

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Pour garder le cap : Régulateur d’allure ou pilote électrique ?

Il y a deux moyens d’éviter d’être rivé à la barre : un pilote électrique, ou un régulateur d’allure.

Un pilote électrique maintient un cap compas ; il faut l’alimenter en électricité. Si le vent forcit, il se peut que le pilote soit dépassé ou (et) tombe en panne. Un pilote électrique est le plus souvent utilisé en navigation côtière, où on pourra recharger les batteries à l’escale.

En grande croisière ou en traversée, il est préférable d’utiliser un régulateur d’allure qui ne consomme pas d’électricité et ne se fatigue jamais. Quelles que soient la force du vent ou l’état de la mer, il maintient un angle constant par rapport au vent.

Le CapHorn combine ces deux modes de pilotage, vent et électrique : lorsque le vent est absent ou irrégulier, on peut connecter un pilote de barre franche à la tige coaxiale qui contrôle la pale. Comme c’est toujours celle-ci qui fournit l’énergie pour agir sur le safran, le plus petit pilote barrera même un gros bateau sans effort, au prix de quelques milliampères.

Safran auxiliaire ou safran du bateau ?

Avec un régulateur d’allure, il y a deux moyens de permettre à un bateau de maintenir un cap constant par rapport au vent :

  • À l’aide d’un safran auxiliaire contrôlé par un aérien (girouette), celui du bateau étant bloqué.
  • Ou en utilisant le safran du bateau. Mais, l’impulsion de l’aérien (girouette) étant insuffisante pour agir directement sur le safran, elle est amplifiée à l’aide d’une pale plantée dans l’eau derrière le bateau. En pivotant sur son axe vertical ; elle est chassée de côté avec force par les filets d’eau, fournissant l’énergie nécessaire.

CapHorn utilise le safran du bateau pour trois raisons :

  • Meilleure performance, surtout dans le gros temps : le safran du bateau est plus efficace et ramène le bateau plus rapidement au cap.
  • Meilleure performance dans le petit temps, surtout au vent arrière : Il faut moins de vent pour faire pivoter une pale étroite qu’un safran auxiliaire.
  • La traînée d’une pale est négligeable ; celle d’un safran auxiliaire est appréciable.

Comment le régulateur d’allure CapHorn conserve un cap ?

Pour régler le cap, on fait pivoter la tourelle pour que le vent frappe l’aérien sur sa tranche ; dès que le bateau perd le cap demandé, l’aérien s’incline sous la pression du vent sur une de ses faces. En s’inclinant, il fait pivoter une pale plantée dans l’eau à l’arrière du bateau ; celle-ci est alors chassée de côté par la force des filets d’eau. Cette force est transmise à l’appareil à gouverner à l’aide de filins (appelés drosses) qui font pivoter le safran pour ramener le bateau au cap.

Quelle force de vent faut-il pour qu’un CapHorn fonctionne ?

Dès qu’il y a suffisamment de vent pour qu’une voile porte, même au vent arrière, un CapHorn maintiendra le cap. Et tant qu’on pourra porter de la toile, même au-delà.

Un CapHorn peut-il être utilisé en régate ?

En général, les coureurs préfèrent se fier à un pilote électrique qui maintient un cap compas. Mais un régulateur maintient un angle constant par rapport au vent et réagit aux oscillations du vent, ainsi les voiles travaillent toujours à leur efficacité maximale.

Deux exemples :

  • À l’été 1983, quelques mois après le retour de son tour du monde, en équipage réduit et barré par le prototype du CapHorn sur 90% du temps, l’Alberg 30 Jean-du-Sud remportait la troisième étape de la Coupe du Golfe (Îles-de-la-Madeleine – Gaspé, 150 milles) contre des bateaux plus récents avec des voiles de régate et barrés par des équipages aguerris.
  • En vue de la Governor’s Cup (1750 milles entre Capetown et Sainte Hélène dans l’Atlantique), Ian Williams, courant en solo contre des yachts avec équipage, avait équipé son bateau d’un CapHorn pour doubler son pilote électrique. Après un jour de mer, le moteur est tombé en panne et ne pouvait plus recharger les batteries. Ian Williams a complété la course barré par son CapHorn et terminé deuxième de sa classe.

Photo Ian Williams

Comment adapter un CapHorn à un bateau donné ?

Plusieurs moyens :

  • Cliquer sur le bouton «Bateaux barrés par CapHorn» pour accéder au répertoire des modèles que nous avons déjà équipés.
  • Consulter le PDF «Comment mesurer» qui indique les mesures qu’il faudra prendre sur votre bateau
  • Nous faire parvenir des photos illustrant l’arrière du bateau, l’intérieur du coqueron et l’appareil à gouverner (vu de l’intérieur).  Cela nous permettra de vous recommander la meilleure installation possible et de vous guider dans la prise des mesures.  Si l’arrière est équipé d’un portique, de bossoirs, de panneaux solaires, etc., joignez-en des photos.

CapHorn est-il compatible avec une barre hydraulique ?

On sait qu’avec un système hydraulique, le zéro de la barre n’est pas constant à cause de fuites à l’intérieur du circuit, ce qui empêche de renvoyer les drosses provenant d’un régulateur conventionnel à un tambour sur la roue. Mais comme les modèles Jean-du-Sud et Spray sont intégré au bateau, les drosses peuvent être renvoyées par l’intérieur vers des poulies fixées sur une barre auxiliaire (qui peut être la même que celle du système hydraulique) et de là, à des taquets coinceurs dans le cockpit. Il faut toutefois installer une vanne de déviation (by-pass valve) lorsque CapHorn est à la barre.

Des bossoirs, un arceau, un bimini empêchent-ils l’usage d’un CapHorn ?

Les modèles intégrés Jean-du-Sud et Spray n’occupent que 10 cm d’espace à l’arrière d’un bateau. Un dinghy sous les bossoirs n’est reculé que d’autant.

Sur les modèles extérieurs Varuna et Joshua, utilisés sur un arrière à jupe, la tour d’aérien est à l’avant de l’axe horizontal, contre le tableau et le dinghy peut être hissé au-dessus de la jupe.

Selon leur hauteur, l’aérien peut être situé en-dessous ou au-dessus d’un arceau ou de panneaux solaire.

Quel est le prix d’un CapHorn ?

Le prix final varie en fonction du modèle et de ses dimensions. Contactez nous.

Qu’est-ce qui est inclus ?

Tout le matériel requis pour fixer l’appareil au bateau est inclus ; par contre les poulies et la quincaillerie qui permet de renvoyer les drosses à l’appareil à gouverner ne le sont pas, étant différentes en nombre et en type pour chaque bateau. Elles sont acquises localement.

Quelle garantie est offerte ?

Le CapHorn est garanti pour un tour du monde ou 28 000 milles contre tout dommage causé par la mer ou le vent.

A-t-on besoin de pièces de rechange ?

Un régulateur d’allure CapHorn est suffisamment costaud, résistant à l’usure et n’a pas besoin de pièces de rechange. Toutefois, en cas de perte par-dessus bord, certains préfèrent doubler des pièces détachables comme les aériens, le croissant qui les relie à la tourelle, ou la pale.

En fait, la seule pièce qui doit être remplacée est le sandow qui relie la pale à sa mèche et lui permet de se décrocher en cas de choc. Il faut le remplacer après d’une saison ou deux, car il s’étire avec le temps.